Moi, au crépuscule
Il y a trop d’agitation, trop de délire
Autour de l’homme qui rit, l’homme qui irrite
Lui, qui au crépuscule de sa vie, aime à regarder ses souvenirs
Il jette son regard désabusé sur ce monde qui s’agite et s’effrite
Autant en emporte le vent
Autant en emporte le temps
Un brin amusé, un rien usé
Un brin lassé, un rien jalousé
Il observe ces gens qui courent après le temps
Il contemple ces gens qui perdent tant
Il préfère se plonger dans ses souvenirs d’ocre et de sang
Couleur qui souille, couleur qui rouille
Couleur du sang, couleur du temps
Dans ce monde, dont le futur s’est perdu entre temps
Dans ce vide éperdu, où il s’est endormi à temps.
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